Séminaires

Les principaux séminaires de l’équipe ont lieu le lundi aux horaires suivants :

  • Séminaire de géométrie différentielle : 14h-15h
  • Séminaire de géométrie complexe : 15h30-16h30

Les responsables sont Damian Brotbeck pour la géométrie complexe et Benoit Daniel pour la géométrie différentielle.


Séminaire géométrie complexe et groupes algébriques

Catégorie d'évènement : Séminaire de géométrie complexe Date/heure : 27 mai 2024 14:00-15:00 Lieu : Salle de conférences Nancy Oratrice ou orateur : Guglielmo Nocera Résumé :

Titre et résumés à venir


TBA

Catégorie d'évènement : Séminaire de géométrie différentielle Date/heure : 27 mai 2024 15:30-16:30 Lieu : Oratrice ou orateur : Thomas Haettel Résumé :

Séminaire commun de géométrie

Catégorie d'évènement : Séminaire de géométrie complexe Date/heure : 3 juin 2024 14:00-16:00 Lieu : Oratrice ou orateur : Simon Riche Résumé :

Séminaire groupes algébriques

Catégorie d'évènement : Séminaire de géométrie complexe Date/heure : 10 juin 2024 14:00-15:00 Lieu : Salle de conférences Nancy Oratrice ou orateur : Corentin Le Bars Résumé :

TBA

Catégorie d'évènement : Séminaire de géométrie différentielle Date/heure : 17 juin 2024 15:30-16:30 Lieu : Oratrice ou orateur : Baptiste Devyver Résumé :

Séminaire commun de géométrie

Catégorie d'évènement : Séminaire de géométrie complexe Date/heure : 1 juillet 2024 14:00-16:00 Lieu : Oratrice ou orateur : Résumé :

Séminaire commun de géométrie

Catégorie d'évènement : Géométrie Date/heure : 9 septembre 2024 14:00-16:00 Lieu : Oratrice ou orateur : Andreas Höring Résumé :

Séminaire commun de géométrie

Catégorie d'évènement : Géométrie Date/heure : 7 octobre 2024 14:00-16:00 Lieu : Oratrice ou orateur : Résumé :

Séminaire commun de géométrie

Catégorie d'évènement : Géométrie Date/heure : 4 novembre 2024 14:00-16:00 Lieu : Oratrice ou orateur : Résumé :

Séminaire commun de géométrie

Catégorie d'évènement : Séminaire de géométrie complexe Date/heure : 2 décembre 2024 14:00-16:00 Lieu : Oratrice ou orateur : Jean-René Chazottes Résumé :

Archives

Formes réelles des adhérences d'orbites nilpotentes dans une algèbre de Lie semi-simple complexe

Catégorie d'évènement : Séminaire de géométrie complexe Date/heure : 20 juin 2022 14:00-15:00 Lieu : Salle de conférences Nancy Oratrice ou orateur : Ronan Terpereau Résumé :

Soit G un groupe algébrique complexe semi-simple, qui agit sur sont algèbre de Lie L(G) via l’action adjointe, et soit X l’adhérence d’une orbite nilpotente dans L(G). Dans cet exposé on va s’intéresser aux formes réelles de X, c’est-à-dire aux variétés algébriques réelles W munies d’une action d’un groupe algébrique réel F telles que F_\C soit isomorphe à G comme groupe algébrique et W_C soit isomorphe à X comme G-variété. Il s’agit d’un travail en commun avec Michael Bulois et Lucy Moser-Jauslin (arXiv:2106.04444).


Séminaire commun de Géométrie - REPORTE

Catégorie d'évènement : Séminaire de géométrie complexe Date/heure : 13 juin 2022 14:00-16:00 Lieu : Oratrice ou orateur : Olga Romaskevich Résumé :

Séminaire reporté en 2022-2023. Date précisée ultérieurement.


Laplaciens de Witten : petites valeurs propres et cohomologie persistente (d’après des travaux en collaboration avec Francis Nier et Claude Viterbo)

Catégorie d'évènement : Séminaire de géométrie différentielle Date/heure : 30 mai 2022 15:00-16:00 Lieu : Salle Döblin Oratrice ou orateur : Dorian Le Peutrec Résumé :
Sur une variété riemannienne, le laplacien de Witten est une déformation du laplacien de Hodge via une fonction de 
Morse f et un paramètre semi-classique h>0. Il fut introduit par Witten en 1982 pour démontrer analytiquement
les inégalités de Morse. Celles-ci se déduisent du fait que, pour tout p\in{0,\dots,d\}, le laplacien de Witten agissant
sur les p-formes admet, lorsque h \to 0 :
— m_p valeurs propres de taille O(e^{-C/h}), où m_p est le nombre de points critiques d’indice p de f,
— dont b_p valeurs propres nulles, où b_p est le p-ième nombre de Betti de la variété.
Dans cet exposé, nous nous intéresserons aux taux exponentiels en jeu dans l’expression de ces valeurs propres en
exhibant leurs liens avec la topologie du potentiel f. Nous montrerons plus précisément que ces taux correspondent
aux longueurs des codes-barres de l’homologie persistante de f. Nous commencerons par le cas p=0, i.e. du laplacien
de Witten agissant sur les fonctions, puis continuerons avec le cas des p-formes, d’abord pour des potentiels de Morse f
génériques, puis en relaxant l’hypothèse de Morse.

Berndtsson-Lempert method for Ohsawa-Takegoshi extension theorem

Catégorie d'évènement : Séminaire de géométrie complexe Date/heure : 30 mai 2022 14:00-15:00 Lieu : Salle de conférences Nancy Oratrice ou orateur : Xu Wang Résumé :
This is a joint work with Tai. Nguyen. We shall show how to simplify the Berndtsson-Lempert method for the Ohsawa-Takegoshi extension theorem (OT). 
In particular, this allows us to generalize the Berndtsson-Lempert approach to manifolds with no non-trivial plurisubharmonic functions (for example, all compact complex manifolds). If time permits we will also discuss one of its applications on a Bergman kernel estimate related to the partial C^0 estimate.

Un peu de topologie de l’espace des courbes hyperelliptiques munies de points de torsion

Catégorie d'évènement : Séminaire de géométrie complexe Date/heure : 23 mai 2022 13:00-14:00 Lieu : Lien du séminaire de géométrie complexe Oratrice ou orateur : Quentin Gendron Résumé :

Les courbes hyperelliptiques sont des revêtements ramifiés de degré deux
de la droite projective. Dans le complément des points de ramification,
la préimage d’un point est constituée de deux points distincts notés p
et q. La différence p-q est de r-torsion s’il existe une fonction qui a
un zéro d’ordre r en p et un pôle d’ordre r en q (et aucune autre
singularité). La recherche de courbes hyperelliptiques définies sur les
rationnels avec r points de torsion est un problème important encore
largement ouvert.

Au contraire, dans le cas complexe on sait qu’il existe des surfaces
possédant une paire de r-torsion pour tout r suffisamment grand. Les
courbes munies de points de r-torsion forment des sous-espaces T_{g,r}
de l’espace des modules des courbes hyperelliptiques pointées. Ces
sous-espaces ne semblent pas avoir fait l’objet d’études approfondies.
Dans cet exposé, je souhaite montrer que leur topologie est
intéressante: à g fixé et pour r assez grand, l’espace T_{g,r} possède
environ g/2 composantes connexes.
J’expliquerai ce résultat grâce à des objets classiques, tels que
l’équation de Pell-Abel, les différentielles de troisième espèce ou les
tresses. Ce résultat a été obtenu conjointement dans un travail en
préparation avec Andrei Bogatyrev.


Un peu de topologie de l'espace des courbes hyperelliptiques munies de points de torsion

Catégorie d'évènement : Séminaire de géométrie complexe Date/heure : 16 mai 2022 15:30-16:30 Lieu : Lien du séminaire de géométrie complexe Oratrice ou orateur : Quentin Gendron Résumé :

Les courbes hyperelliptiques sont des revêtements ramifiés de degré deux
de la droite projective. Dans le complément des points de ramification,
la préimage d’un point est constituée de deux points distincts notés p
et q. La différence p-q est de r-torsion s’il existe une fonction qui a
un zéro d’ordre r en p et un pôle d’ordre r en q (et aucune autre
singularité). La recherche de courbes hyperelliptiques définies sur les
rationnels avec r points de torsion est un problème important encore
largement ouvert.

Au contraire, dans le cas complexe on sait qu’il existe des surfaces
possédant une paire de r-torsion pour tout r suffisamment grand. Les
courbes munies de points de r-torsion forment des sous-espaces T_{g,r}
de l’espace des modules des courbes hyperelliptiques pointées. Ces
sous-espaces ne semblent pas avoir fait l’objet d’études approfondies.
Dans cet exposé, je souhaite montrer que leur topologie est
intéressante: à g fixé et pour r assez grand, l’espace T_{g,r} possède
environ g/2 composantes connexes.
J’expliquerai ce résultat grâce à des objets classiques, tels que
l’équation de Pell-Abel, les différentielles de troisième espèce ou les
tresses. Ce résultat a été obtenu conjointement dans un travail en
préparation avec Andrei Bogatyrev.


Variétés sphériques et conjecture YTD effective

Catégorie d'évènement : Séminaire de géométrie complexe Date/heure : 9 mai 2022 14:00-15:00 Lieu : Salle de conférences Nancy Oratrice ou orateur : Thibaut Delcroix Résumé :

La conjecture de Yau-Tian-Donaldson en géométrie complexe relie l’existence de métriques de Kähler canoniques et la notion algébro-géométrique de K-stabilité. Une version forte a été prouvée pour les métriques de Kähler-Einstein sur les variétés de Fano il y a presque dix ans, et elle a considérablement amélioré notre compréhension de ce problème. Pour des métriques de Kähler canoniques plus générales, telles que les métriques de Kähler extrémales de Calabi, la conjecture YTD est toujours ouverte et, ce qui est peut-être plus important, son utilité pour prouver l’existence de métriques de Kähler extrémales est beaucoup moins claire. Je présenterai un raffinement possible de la conjecture YTD, inspiré par quelques indices dans la littérature, puis des résultats partiels dans cette direction dans le cadre des variétés sphériques.


Séminaire commun de Géométrie - Construction de surfaces minimales : approche variationnelle

Catégorie d'évènement : Séminaire de géométrie complexe Date/heure : 2 mai 2022 14:00-16:00 Lieu : Oratrice ou orateur : Laurent Mazet Résumé :

Comme tous les « Séminaires communs de géométrie », cet exposé est constitué de deux parties, la première de 14h à 14h45 pour un large public, la seconde de 15h15 à 16h pour un public plus intéressé. Entre les deux, une pause « thé-gâteaux » est offerte par l’équipe de géométrie

Première partie : Construction de surfaces minimales : approche variationnelle.

Résumé : Après avoir expliqué ce que sont les surfaces minimales, je présenterai quelques éléments de l’approche variationnelle qui peut être utilisée pour en construire.

Partie spécialisée : Rigidité des variétés riemanniennes contenant un équateur

résumé : Si une métrique sur la sphère S^2 à courbure comprise entre 0 et 1 possède une géodésique de longueur 2\pi, alors la courbure est constante égale à 1. Ce résultat de rigidité est dû à Calabi. En dimension 3 et sous les mêmes hypothèses de courbure sectionnelle, l’existence d’une sphère minimale d’aire 4\pi rigidifie aussi la métrique. Ce résultat a été obtenu dans un travail précédent avec H. Rosenberg. Dans cet exposé je présenterai comment ce travail peut être généralisé en codimension supérieure. Je donnerai aussi comme conséquence un théorème de rigidité pour le « width » de Simon-Smith.


Variétés de Robinson et connexions adaptées

Catégorie d'évènement : Séminaire de géométrie différentielle Date/heure : 25 avril 2022 15:30-16:30 Lieu : Salle Döblin Oratrice ou orateur : Robert Petit Résumé :

Les variétés de Robinson sont des variétés pseudoriemanniennes que l’on peut réaliser comme fibrés en droites (ou cercles) au dessus de variétés CR. Ces variétés sont présentes dans l’étude des solutions exactes de la relativité générale et plus précisément dans les métriques de type trou noir (Kerr, Taub-Nut). Après avoir présenté ces variétés et donné quelques exemples, nous introduirons dans cet exposé une connexion métrique (différente de la connexion de Levi-Civita) adaptée à l’étude de la géométrie de ces variétés.


Le tore "tue" les nombres de Chern et c'est bien le seul !

Catégorie d'évènement : Séminaire de géométrie complexe Date/heure : 25 avril 2022 14:00-15:00 Lieu : Salle Döblin Oratrice ou orateur : Benoit Claudon Résumé :

Dans un travail en commun avec Patrick Graf et Henri Guenancia, nous nous sommes intéressés à un analogue singulier du théorème de Yau qui affirme qu’une variété kählérienne compacte dont les 2 premières classes de Chern sont nulles admet un revêtement étale qui est un tore. Pour généraliser ce type de résultat au cas klt, nous établissons une version singulière de l’inégalité de Bogomolov–Gieseker. Nous nous appuyons également sur le théorème de décomposition pour les espaces kählériens Ricci plat obtenu par Bakker–Guenancia–Lehn.


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