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Séminaire de géométrie complexe

Séminaire de géométrie complexe

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Séminaire Commun - Sergey Lysenko

19 juin 2023 14:00-16:00 -
Oratrice ou orateur : Sergey Lysenko
Résumé :

titre: geometrisation de la representation de Weil.

resumé: On va presenter la geometrisation de la representation de Weil
du groupe metaplectique sur un corps fini. Si le temps le permet, on
discutera aussi le cas de la representation de Weil du groupe
metaplectique sur un corps local non-archimédien et les applications
pour le programme de Langlands geometrique.


Sous-schémas en groupes paraboliques en caractéristique positive

12 juin 2023 14:00-15:00 - Salle de conférences Nancy
Oratrice ou orateur : Matilde Maccan
Résumé :
Dans l’étude des variétés de drapeaux non séparés, i.e. quotients projectifs X=G/P d’un groupe (semi)simple G, en caractéristique p>0 on s’interesse aux sous-schémas en groupes paraboliques P non réduits. On suppose que le groupe de Picard de X est isomorphe à Z, ce qui revient à dire que la partie réduite de P est un parabolique lisse maximal.
En tout type et caractéristique, sauf pour p=2 en type G_2, ces sous-groupes s’obtiennent tous à partir de noyaux d’isogenies purement inseparables : cela generalise les travaux de Haboush-Lauritzen et Wenzel sur le sujet.
On introduit une classification des isogenies avec source simplement connexe, ensuite on présente une esquisse de la preuve du résultat principal. Si le temps le permet, on terminera avec le cas de G_2 en caractéristique 2, ce qui fournit une classification complète en rang de Picard 1.

Séminaire Commun de Géométrie - Dualité structures complexes-hyperboliques et projectives réelles

5 juin 2023 14:00-16:00 -
Oratrice ou orateur : Andrès Sambarino
Résumé :
Une dualité entre les structures complexe-hyperboliques et les structures projectives réelles
Soit $M$ une variété (réelle-)hyperbolique fermé. Un résultat classique dû à Bourdon entraîne que pour toute action convexe co-compact du $\pi_1M$ dans l’espace hyperbolique-complexe, la dimension de Hausdorff de son ensemble limite est minorée par $n-1$, avec égalité uniquement lorsque l’action laisse invariante une copie totalement géodésique de l’espace hyperbolique réel.
Dans cette exposé on regardera une version infinitésimale de cet énoncé, portant sur la deuxième variation de la dimension de Hausdorff de l’ensemble limite, pour des déformations de cette dernière action. Notre calcul se base sur une étude de l’espace des structures projectives réelles sur $M$ et d’une métrique naturelle, dite de Pression, qu’il porte.
C’est un travail en collaboration avec M. Bridgeman, B. Pozzetti et A. Wienhard.

Les singularités I-bonnes: l'intersection entre la théorie analytique et la théorie algébrique

16 mai 2023 14:00-15:00 -
Oratrice ou orateur : Mingchen Xia
Résumé :
Les fibrés vectoriels sur une variété projective complexe lisse admettent de nombreuses théories algébriques. En particulier, on peut définir les classes de Chern, les nombres d’intersection etc. D‘autre part, si les fibrés sont munis de métriques Hermitiennes lisses, ces théories algébriques ont des analogues analytiques. Par exemple, au lieu des classes de Chern, on considère les formes de Chern qui représentent les classes de Chern.
Quand les métriques sont singulières, les objets définis au point de vue analytique ne représentent pas toujours les objects algébriques correspondants. Nous introduirons une notion d’I-bonnes singularités sur les fibrés vectoriels. On verra que quand les singularités sont I-bonnes, aucune pathologie ne se produit. Cette notion généralise partiellement celle de bonne métrique de Mumford.

Séminaire Commun de Géométrie - équidistribution d'intersections typiques avec des sous-variétés localement homogènes

15 mai 2023 14:00-16:00 -
Oratrice ou orateur : Nicolas Tholozan
Résumé :
Titre: équidistribution d’intersections typiques avec des sous-variétés localement homogènes
Résumé: Je présenterai un travail en collaboration avec Salim Tayou qui donne une réponse assez générale à la question suivante: Etant donnée une sous-variété V d’un espace localement homogène X et une suite équidistribuée O_n de sous-espaces localement homogènes de X, vers quoi s’équidistribue l’intersection de O_n avec V ?
Cette question est principalement motivée par ses applications à la théorie de Hodge. Notre réponse fournit par exemple des théorèmes d’équidistribution pour le lieu de Noether—Lefschetz d’une famille de variété algébriques ou pour les variétés abéliennes à multiplication complexe.

Séminaire Commun de Géométrie - Géométrie des surfaces plates de grand genre

3 avril 2023 14:00-16:00 -
Oratrice ou orateur : Elise Goujard
Résumé :

Dans cet exposé on s’intéressera aux surfaces de demi-translation et plus particulièrement aux surfaces à petits carreaux de demi-translation. Après avoir rappelé quelques résultats sur la répartition de ces surfaces dans les espaces de modules de surfaces plates, j’exposerai des résultats récents et des conjectures sur la géométrie et la combinatoire de ces surfaces en grand genre.

Dans le cas générique (strates principales des espaces de modules), ces résultats sont dus à un travail en collaboration avec V. Delecroix, P.Zograf and A. Zorich, et s’interprètent également en terme de mutlicourbes fermées sur les surfaces. J’expliquerai également ce que l’on sait faire dans le cas des strates impaires et les conjectures correspondantes (travail en commun avec E. Duryev et I. Yakovlev).


La conjecture de Beauville-Voisin pour les sextiques EPW doubles

27 mars 2023 15:30-16:30 - Salle Döblin
Oratrice ou orateur : Robert Laterveer
Résumé :


Séminaire de géométrie complexe et groupes algébriques

20 mars 2023 14:00-15:00 -
Oratrice ou orateur : Ilia Smilga
Résumé :

titre : *Action du groupe de Weyl sur l’espace des vecteurs MA-invariants*

résumé : Soit G un groupe de Lie réel semisimple, A son
« sous-espace de Cartan » ou « tore déployé maximal » (sous-algèbre
abélienne diagonalisable sur les réels maximale). On peut alors
définir son groupe de Weyl restreint W, comme le quotient du
normalisateur de A par son centralisateur. (Je donnerai des
exemples concrets).

Considérons maintenant une représentation irréductible de dimension
finie rho de ce groupe (agissant sur un espace V). Alors W a une
action bien définie sur le sous-espace V^L formé par les vecteurs de
V fixés par le normalisateur de A, appelé MA ou L.
Dans le groupe de Weyl (restreint), un rôle spécial est joué par le « mot
le plus long » w_0, qui envoie les racines (restreintes) positives sur
les racines (restreintes) négatives. Nous nous posons la question
suivante : dans quels cas ce w_0 a-t-il une action non triviale sur
V^L ? (Cette question est motivée par une certaine question en
dynamique des groupes de transformations affines.)

Cette question se décompose naturellement en deux parties : quelles sont
les représentations pour lesquelles, déjà, V^L est non trivial ? et
puis, parmi celles-ci, quelles sont celles où, en plus, w_0 agit
non-trivialement sur V^L ? Dans le cas particulier où G est déployé,
la première question est très facile, et nous avons trouvé la réponse à
la deuxième, qui est : « presque toutes ». Dans le cas général, j’ai
récemment obtenu la réponse à la première question, et pour la deuxième
question je dispose d’une conjecture. Je vais présenter tous ces travaux.


La conjecture de Beauville-Voisin pour les sextiques EPW doubles

13 mars 2023 14:00-15:00 - Salle de conférences Nancy
Oratrice ou orateur : Robert Laterveer
Résumé :


Séminaire « Groupes algébriques et géométrie complexe » (en ligne, horaire inhabituel)

13 mars 2023 16:00-17:00 - Salle de conférences Nancy
Oratrice ou orateur : Sarah Dijols
Résumé :

Titre : Induites paraboliques du groupe p-adique G_2 distinguées par SO_4

Résumé : Après une brève introduction pour motiver l’étude des représentations distinguées, j’expliquerai comment la théorie de Mackey pour les groupes p-adiques nous permet d’identifier ce type de représentations et les spécificités du cas de l’étude du groupe exceptionnel G_2. Je présenterai une première description de certaines des représentations distinguées pour la paire (G_2, SO_4), et une nouvelle approche en cours pour obtenir une classification plus complète de ces représentations où la structure des octonions joue un rôle central.


Séminaire Commun de Géométrie - Hyperbolicité en présence d'un grand système local

6 mars 2023 14:00-16:00 -
Oratrice ou orateur : Yohan Brunebarbe
Résumé :

Hyperbolicité en présence d’un grand système local

 

Serge Lang a proposé plusieurs conjectures influentes reliant différentes notions d’hyperbolicité pour les variétés algébriques complexes projectives. Par exemple, il a conjecturé que le lieu balayé par les courbes entières coïncide avec le lieu balayé par les sous-variétés qui ne sont pas de type général, du moins après avoir pris les fermetures de Zariski. J’expliquerai que certaines de ces conjectures (dont celle ci-dessus) sont vraies pour les variétés qui admettent un grand système local complexe au sens de Campana et Kollár (par exemple toute variété qui possède une variation de structures de Hodge mixtes dont l’application des périodes est finie).


Problème de non-annulation pour les variétés à fibré anticanonique nef

27 février 2023 14:00-15:00 - Salle de conférences Nancy
Oratrice ou orateur : Zhixin Xie
Résumé :

Soit X une variété complexe proiective de dimension trois avec
bonnes singularités. Miyaoka a montré dans les années 1980 que si le
fibré canonique K_X est nef, alors un certain multiple de K_X est
effectif. Ceci est le théorème classique de non-annulation pour les
variétés minimales de dimension trois.
Dans cet exposé nous expliquerons des résultats analogues pour le fibré
anticanonique -K_X, ce qui correspondent au problème de non-annulation
pour les variétés à courbure semi-positive. Plus précisément, nous
montrerons que si -K_X est nef, alors la classe numérique de -K_X est
effective.
Il s’agit d’un travail en collaboration avec Vladimir Lazić, Shin-ichi
Matsumura, Thomas Peternell and Nikolaos Tsakanikas.


Sur la structure des polynômes différentiellement homogènes, et leur lien avec les différentielles de jets (tordues) sur les espaces projectifs

27 février 2023 15:30-16:30 - Salle de conférences Nancy
Oratrice ou orateur : Antoine Etesse
Résumé :


Séminaire Commun de Géométrie - l'espace des métriques kählériennes

6 février 2023 14:00-16:00 -
Oratrice ou orateur : Eleonora Di Nezza
Résumé :

L’espace des métriques kähleriennes.

Un problème classique en géométrie kählerienne est de trouver des métriques kähleriennes spéciales, cet à dire avec des bonnes propriétés de courbure. En relation avec ce problème, l’étude de l’espace des métriques kähleriennes, que l’on denote H, devient cruciale.

Cet espace à été étudié à partir des année 80 quand Mabuchi a introduit un produit scalaire sur chaque espace tangent. À partir de cela, une famille de distances d_p, p>=1, on été définie sur H en démontrant que (H, d_p) est une espace métriques mais pas complet.
Dans la première partie cette exposé on donnera un panorama de tout ce que on sait sur cet espace. Puis parlera plus en détail de ses géodésiques, son complété métrique et des distances d_p.
Les résultats présentés dans cette exposé sont basés sur des deux travaux, un en collaboration avec Vincent Guedj et l’autre en collaboration avec Chinh Lu.


Séminaire de géométrie complexe et groupes algébriques

30 janvier 2023 14:00-15:00 -
Oratrice ou orateur : Tristan Bozec
Résumé :

Titre : Structures Calabi-Yau et espaces de représentations.

Résumé : Brav et Dyckerhoff ont montré que, dans un contexte approprié, les structures dites Calabi-Yau (CY) en algèbre noncommutative induisent des structures lagrangiennes sur les espaces de représentations. Je vais donner des applications de ce principe dans le cadre des carquois en exhibant de nouvelles sous-variétés lagrangiennes du schéma de Hilbert de points sur le plan, correspondant à des lieux critiques dits relatifs ou contraints. J’expliquerai aussi comment ces structures CY recouvrent des notions standard en géométrie Poisson et (quasi)Hamiltoniennes, et comment elles donnent lieu à une nouvelle théorie topologique des champs (TFT) si le temps le permet. C’est un rapport sur des travaux réalisés avec Damien Calaque et Sarah Scherotzke.


Séminaire de groupes algébriques et géométrie complexe

23 janvier 2023 14:00-15:00 -
Oratrice ou orateur : Thomas Gobet
Résumé :

Titre: Groupes de tresses et algèbres de Hecke de normalisateurs de sous-groupes de réflexions

Résumé: Étant donné un groupe de réflexions complexe (fini) et un sous-groupe de ce dernier engendré par des réflexions, on peut se demander sous quelles hypothèses ce sous-groupe admet un complément à l’intérieur de son normalisateur. Dans le cas des groupes de Coxeter et de leurs sous-groupes paraboliques, Howlett a montré qu’un tel complément existe toujours et a donné un algorithme pour en déterminer un système de générateurs. Taylor et Muraleedaran ont montré que les sous-groupes paraboliques des groupes de réflexions complexes finis admettent également un complément. Lorsque le sous-groupe n’est pas parabolique, l’existence de complément n’est en général pas garantie.

En lien avec l’étude des algèbres de Yokonuma-Hecke, Marin a défini un groupe que l’on peut considérer comme le groupe de tresses d’un normalisateur d’un sous-groupe de réflexions. Celui-ci contient le groupe de tresses du sous-groupe de réflexions comme sous-groupe normal, fournissant une suite exacte courte qui relève celle induite par l’inclusion du sous-groupe de réflexions dans son normalisateur. On peut également construire l’analogue d’une algèbre de Hecke pour le normalisateur du sous-groupe de réflexions. Dans les cas où la suite exacte induite par l’inclusion du sous-groupe de réflexions dans son normalisateur est scindée, on peut se demander si cette propriété se relève à la suite exacte impliquant le groupe de tresses du normalisateur. Si c’est le cas, on obtient une décomposition en produit semi-direct de l’algèbre de Hecke du normalisateur, ce qui permet notamment d’en construire une base standard.

Dans un premier temps, nous rappellerons les définitions et constructions des objets considérés. Nous expliquerons pourquoi, dans le cas d’un groupe de Coxeter fini et d’un sous-groupe de réflexions arbitraire, le groupe de tresses du normalisateur se décompose toujours en un produit semi-direct (travail en commun avec Anthony Henderson et Ivan Marin). Si le temps le permet, nous évoquerons la situation plus générale des groupes de réflexions complexes finis. Dans ce cas, les suites exactes mentionnées plus haut ne sont pas scindées en général, mais sous de bonnes hypothèses sur le corps de base et l’ensemble des paramètres, il existe toujours une décomposition en produit semi-direct de l’algèbre de Hecke du normalisateur (travail en commun avec Ivan Marin).


How fundamental groups of algebraic varieties determine their hyperbolicity

16 janvier 2023 14:00-15:00 - Salle de conférences Nancy
Oratrice ou orateur : Ya Deng
Résumé :

It is natural to ask whether one can characterize the hyperbolicity of algebraic varieties via their topology. In this talk, I will answer this question if their fundamental groups admit a linear representation. Precisely, I will give a sharp condition for the hyperbolicity of complex quasi-projective varieties via representation of fundamental groups. This fits well with the prediction of the strong Green-Griffiths-Lang conjecture. As an application, fundamental groups of special quasi-projective varieties must have nilpotent linear quotient, thus proving a conjecture by Campana in the linear case. For colleagues who have interest in the proof, I will use some extra time to briefly explain the strategy of the proof, which is based on Nevanlinna theories, and non-abelian Hodge theories in both Archimedean and non-archimedean settings. This work is based on two joint works with Brotbek-Daskalopoulos-Mese, and Cadorel-Yamanoi. 


Séminaire Commun de Géométrie - Finitude des groupes hyperboliques

9 janvier 2023 14:00-16:00 -
Oratrice ou orateur : Gilles Courtois
Résumé :
Titre:
Théorème de finitude pour les groupes hyperboliques
Résumé:
Les théorèmes de finitude en géométrie riemannienne ont une longue histoire.  En voici un
exemple particulier : « Il existe un nombre fini de variétés différentiables compactes sans bord de dimension n portant une métrique de courbure sectionnelle et diamètre Diam vérifiant -a2 ≤ Sec <0 et Diam ≤ D.
A la fin des années 80, M. Gromov a introduit une notion de courbure négative pour les espaces métriques qui englobe une classe d’espaces beaucoup plus vaste que les variétés riemanniennes. On peut alors envisager  des résultats de finitude pour ces espaces.
Le but de l’exposé est d’expliquer la notion d’espace et de groupe hyperbolique au sens de Gromov et de décrire le théorème suivant : (en collaboration avec G. Besson, S. Gallot et A. Sambusetti)
« Le nombre de groupes sans torsion, non élémentaires, δ-hyperboliques et d’entropie inférieure à H
est fini et majoré par un nombre qui dépend de δ et H. »
%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%
Comme chaque séminaire commun de géométrie, il sera constitué d’un premier exposé de type « colloquium » de 14h à 14h45, puis d’une pause thé-gâteaux de 14h45 à 15h15, puis de la suite de l’exposé de niveau recherche de 15h15 à 16h. Venez nombreux !

Stabilité et métriques Kähler--Einstein sur des variétés à fibré anticanonique gros

12 décembre 2022 14:00-15:00 - Salle de conférences Nancy
Oratrice ou orateur : Rémi Reboulet
Résumé :

Je présente une notion de configuration test et de stabilité (pour la fonctionnelle de Ding) pour des variétés dont le fibré anticanonique est gros, c’est-à-dire quand les sections des puissances de -K_X ont une croissance maximale, mais peuvent avoir des points-base. Pour ce faire, j’utilise le formalisme des espaces de Zariski-Riemann. J’explique ensuite comment cette notion de stabilité est liée à l’existence de métriques Kähler–Einstein singulières. Ces résultats sont basés sur un travail en commun avec Ruadhaí Dervan.


Sous-varietes algebriquement coisotropes

12 décembre 2022 15:15-16:15 -
Oratrice ou orateur : Katia Amerik
Résumé :

Soit X une variete lisse holomorphiquement symplectique, alors une
sous-variete coisotrope lisse Y de X est muni d’un feuilletage naturel
(le noyau de la restriction de la forme symplectique). On dit que Y
est algebriquement coisotrope si ce feuilletage est algebriquement
integrable,
c’est-a-dire tangent a une fibration. Par analogie avec nos resultats
en codimension une, nous posons la question si toute variete
algebriquement
coisotrope est, a un revetement fini pres, produit d’une sous-variete
lagrangienne avec un Z symplectique quelconque. Nous expliquons
certaines
reponses partielles (notamment c’est vrai lorsque X est abelienne).


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